lundi 28 mars 2011

Combien de temps, vais je écrire?




 Combien de temps, vais- je écrire?
Combien de temps pour parler de soi , de lui et d'elle ?
Quand ce temps nous rend vénère et nous désespère
Dans bien des situations, entre doute, amertume et incertitude

Combien de temps, vais-je écrire?
Combien de temps, vais je trouver la lumière?
Dans mon monde poétique très sombre, amer je le suis
Je ne cesse d'écrire, afin de soulager mon âme
De cet enfer, dont bien des flammes s'exclament

Combien de temps, vais- je écrire?
En manque de paroles je le suis alors j'écris, j'écris
Au point de détériorer cette page blanche
Sur laquelle je chevauche, d'oublier ces blanches tâches
D'un cœur lourd en réflexion
Chaque instant, ma plume s'enflamme à chaque fois qu'il se contracte
Je constate, chaque de mes écrits est un nouveau cadeau, je m'épate





Auteur: Little D

jeudi 24 mars 2011

Mon dernier Au Revoir, Mon Dernier Souffle et Mes dernières pensées












Mon dernier Au Revoir, Mon Dernier Souffle et Mes dernières pensées
Chaque instant  j'écris,j'écris sans cesse. Car mon cœur se compresse, je crie
Au travers de mon Aigle Royal, en ouvrant mes ailes à divers de mes étapes
Ma douleur, Mon malaise intérieur ne s'estompent guère dont je n'en tire pas de bénéfice
En me cachant derrière mon  sourire stressant, ma souffrance incessante

Mon dernier Au Revoir, Mon Dernier Souffle et Mes dernières pensées
Je déballe bien des choses sur le bitume, la dépouille de mon âme
Entre la douleur et l'amertume, j'ai fait renaitre ma déraciné de plume
Quand bien mon existence entourée de ces habits de Guenille, je vacille
Entre la lumière et mon monde obscurcit, je me suis en durcit
Pour un tel ou un tel, qu'importe les raisons, de la mort qui m'épie, je reste en sursis

Mon dernier Au Revoir, Mon Dernier Souffle et Mes dernières pensées
Si je serais amené à quitter ce monde, sans avoir fait le choix
Je dédie un grand remerciement à tout ceux, celles qui m'ont soutenu
Quand la déprime, les larmes m'ont envahit, je me suis mis à nu
Je refrène,ce passé qui me mal mène, j'ai appris à la transformer en guérite
Ce contenu spatial, dans une partie de ma tête, détenu
Ceux,celles qui m'ont supporté,j'ai bien soutenu,aidé entre mes défauts et mes qualités
Ceux, celles qui ne m''oublieront jamais entre deux cils-lances,je m'élance
Ce flot qui est le mien, je lance entre deux instrumentaux, entre deux notes tantot,je me place



Mon dernier Au Revoir, Mon Dernier Souffle et Mes dernières pensées
Ce souffle qui  m'est si important, chaque instant
Je le sens, partir à chaque de mes inspirations et mes expirations
Me serrant la gorge de plus en plus, entre deux phases
Est ce vraiment ma fin, fixant ce ciel bleu, entre blanc et ce bleu?
Dans lequel je me perds dans cet ailleurs, ce soleil gué,d'un sourire m'a tagué
Contre mon gré, de mon plein gré et de ses conséquences au second degrés
J'ai vu mon corps se taire, au bruit de ce griot aguerri,qui m'a sourit
Me fit apprécier ce passage dans l'autre monde que l'on appelle Le Paradis
Avec Aimé Césaire Édouard Glissant,Michael Jackson, 2 PAC
Chacun d'entre eux, ont marqué mon existence, par leur humaine singularité
Sur le banc des Mélancoliques, j'ai fait pleuré, mon encre algique raturé à l'huile Karité
Mes yeux se referment lentement face à cette brume
Dans lequel ce sentiment d'amertume se saisissait ds mes sentimentales plate-formes
Mes larmes sont ces brins de mélasses de ce mégot qui fait parlé mon ego






Mon dernier Au Revoir, Mon Dernier Souffle et Mes dernières pensées
Celles que j'aurais me disant que je n'aurais aucun regret de mon chemin parcouru
Je me suis perdu dans divers chemins, stoïque face à cette douleur,ce malheur qui me sont apparus, stridulation interne qui m'envahissait dans chaque de mes objectifs au détour de la Victoire de Rue
Je sais que l' Homme n'est pas du tout parfait, sans le vouloir ou indirectement j'ai du blessé autrui.
Avant que les mots me manquent, les paroles me manquent, les cases blanches de ma mémoire sautent  et se marquent alors J'écris sur le bancs des vivants
Mes proses, mes vers de L'aigle Royal Déraciné de son vivant, comme auparavant
Chaque de mes battements de mon cœur est l'écho de mon âme de poète mit en avant
Garder toujours le meilleur de moi même, je le suis, je le serais anonyme
Quoiqu'il m'incombe, de ma douleur je succombe à terme, à la fin de chaque de mes stratagèmes





Auteur: Little D

dimanche 20 mars 2011

Les maux d'une âme....Ils me désarment et m'enflamment











Les maux d'une âme....Ils me désarment et m'enflamment
Comme les notes d'une guitare, elles m'envahissent et me submergent
Dans bien des situations, quand j'encaisse,j'étale dans chaque de mes pages
Do, Ré Fa Sol m'enlacent, au point que je danse avec elle
Cette forme harmonieuse divinement divine
Que les hommes ont cherché à séduire
Elle, la Femme de cœur et d'âme



Les maux d'une âme....Ils me désarment et m'enflamment
Je suis dans ma bulle, quand ils m'attaquent et me traquent
Que dans mes chaussures, je ne sois pas bien à l'intérieur
Cela est bien curieux, vous me direz cela n'est peut pas sérieux
J'écris pour ceux et celles qui souffre, le cœur subit des trou noirs
Mon malaise intérieur me  mal mène, dans ma vie, j'enchaîne




jk@ les maux d'une âme...alchimie entre les actes et la paroles
insatisfaction internes via prises de consciences externes
messages subliminaux, pour vous mettre dans le faux
extrémiste d'influence de Lucifer face à l'ange
perdue compréhensive justesse du bien, du mal
état complètement pas-R.A.S-normal...

les maux d'une âme...brutale peut être la chute
dans le précipice du méandre infernale
tourbillon cyclonique de notre métaphysique
face aux questionnement d'esprit logique
qui nous atteignent et nous saignent
en nous privant de notre oxygène.




Les maux d'une âme....Ils me désarment et m'enflamment
Je m’assieds quelques fois sur les bords de la Seine
Je me mets à m’évader au bruit de ces vagues
Qui me rendent sereines, quoiqu’il advienne
J’ai tourné bien des pages de cette existence dingues
Entre râteaux, échecs, désillusion, je m’en passe
J’ai envie de vivre, j’en ai assez de survivre





Les maux d'une âme....Ils me désarment et m'enflamment
Qu’ils soient conjugués au pluriel ou singulier
Chacun d’entre nous, on se met à divaguer
Dans les eaux de la réflexion, du doute, j’ai navigué
L’écriture, je l’ai utilisé de mon malaise intérieur, pour palier






Auteurs: Little D et Asher Jahzaira-Kaila

samedi 19 mars 2011

Hirondelle de l'àu de là ...Partie seule dans un triste silence





 Comme tous les trésors,
Ils sont important à nos yeux
Leur essor dans nos vies,
Est vital à chaque instant.
Mais pour combien de temps?



J'ai eu mal, j'ai eu mal
Je n'ai rien pu te dire,
Face à ce départ.
Que je me refermais dans une malle,
Ou je me suis mis à part.


Car je suis tombé genoux à terre,
Avec les deux mains sur la tête.
Comme seul rempart,
A ma pesante douleur.
Te retrouverais je ailleurs?
Qui ne cesse de me submerger.
J'ai été blessé, au point d'être déranger


Elle s'appelle  A------ --------Y
J'ai d'énorme regret, en partie
Car je n'ai pas eu l'occasion d'être avec toi
De mes tripes, je t'ai déballé mes vers,
mes mots à l'envers.
Et à des sauces diverses.
Dans mes yeux, des larmes en averses




Tu ne méritais pas de souffrir
Mais Dieu décida autrement
Ta simplicité, ton authenticité me touche constamment
Pourquoi es tu partie dans de telle condition?
De moi à toi, de toi à nous, nos cœurs souffrent de ton châtiment.




Quel est le sens de la vie?
Sans toi, le monde n'a guère de saveur, de gaieté
Je dessine avec ma plume ce texte d'hommage
Pour te garder prés de moi, ton âme
Une nouvelle fois te remettre à la page
Tu me manqueras toujours, tu nous manqueras toujours
Je pense à toi tous les jours
Ma poétesse de mon cœur
A jamais disparue.








Auteur: Little D

jeudi 17 mars 2011

Un instant











Un instant
Je  m'assis dans un escalier
Je vois défiler une infinité d'innombrable originalité
Extravagance, simplicité
Forme ce paysage d'été


Un instant
Je me rencontre de l'humaine diversité
Qui nous entoure
Femme,Homme
Se dévoile de façon à  plaire
Au risque de déplaire certains
Au point que nulle limite de la mode soit dépasser




Un instant
Les couleurs, les gouts, les origines, les cultures s'entremêlent
Formant l'hymne de la liberté vestimentaire
Qui voudrait vraiment nous faire taire?




Un instant
Je m'arrête cette fois ci sur ce prédicateur de bonne parole
Dans cette place principale, nul ne portait son attention, juste du ras le bol
Au milieu de cette foule se déplaçant ici et là
Tel le mouvement de la vague
D'un point à un autre, en fonction des envies des choix
Autour de ses dragueurs sur place avec leurs artifices
Qui trainent aux rythmes des pas silencieux de la gente féminines
De leur regard complice
Juste pour se dire dans le cœur,j'ai de la chance
De t'avoir à mes cotés
Les gens se frôlent,se consolent, se câlinent
Tantôt en marchant en couple ou en solo, en vélo
Comme des bolides





Un instant
Même si ceux, celles qui roulent en vélo n'ont pas le permis à point
Mais ils se permettent d'avoir une attitude de fou du volant
Les cinés, les fast foods font du bénéfices
C'est le centre de rencontre de ma populasse
Même quand tu viens d'atterrir sur le sol français c'est la base




Un instant
D'après vous,  quel est le lieu dont je vous écris?
Je ne saurais vous dire mais ce lieu me fait penser des fois  à un petit endroit chez moi
Tout le monde se côtoie sans jugement, trace sa route simplement
Malgré les saisons, les mois passent mais ce lieu reste un haut lieu de rencontre
Comme un aimant
Dites moi  ce  que vous inspire cette description
Aurait-elle tenu votre attention?





Un instant
Ce lieu dont j'ai pris le temps de vous décrire
Au risque de plaire ou de déplaire
Est simplement Châtelet
Un haut lieu  tout en couleur, en partage
Ou il fait bon vivre, de prendre un moment d'y passer
De revoir les connaissances perdues de vue, les miss, les peintres de rue, les danseurs de break dance



Viens voir Châtelet , n'aie pas peur, tu t'y plairas j'en suis sur....
Viens voir Châtelet, n'aie pas peur, tu t'y plairas j'en suis sur....



Auteur: Little D

lundi 14 mars 2011

Les larmes de mon cœur.......en guise d'encres indélébiles








 Les larmes de mon cœur.......en guise d'encres indélébiles
Celles qui coulent dans mes yeux à chaque instant,contre le temps.
Le temps c'est de l'argent, me dit-on ,de mon avenir, j'en suis inconstant
Je n'ai guère de style, j'écris avec mon cœur simplement
Car mon cœur en veut, la plume me donne un sentiment de soulagement
Nul ne  me passerait à l'idée, de me présenter ds ces jeux de comparaison
Ma récompense est de la poser sur la page avec raison


Les larmes de mon cœur.......en guise d'encres indélébiles
Je sais d'où je viens, par ou je passe et comment j'encaisse?
De passer dans les divers étapes de mon existence
Mais de mes blessures, fractures intérieures, je me dresse
L'oubli de certains souvenirs me matraque,me  pique
Au point, que je ne puisse vraiment tourner les pages marquées
Dont les traces de vertes bêtises ont été plaquées
Sans moyen de retour à la base, ni de les décalquées
Entre moqueries, mon malaise intérieur, de mes fautes commises
De mes parents, j'en ai reçu des fessés à gogo,car la rigueur était de mise



Les larmes de mon cœur.......en guise d'encres indélébiles
Je ne suis guère un type parfait, de mes échecs, j'en garde
Un parfum amer, que je ne pourrais effacer
Je ne cesse de les déplacer
De les exiler dans mon cerveau et les coincer
Sous une douche froide
Ils Réapparaissent dans mes passages avides
Bien de mal m'a été fait,reste un temps obscur défait
Chaque heure, j'essaie de mettre de la lumière






Les larmes de mon cœur.......en guise d'encres indélébiles
De mon enfance, je garde de bon souvenir, des rires
Mais aussi des mauvais qui resteront cachés
Dans ma Bible d'or, j'en ai écrit des passages
Afin que je ne puisse jamais me laisser envahir
Par Satan et de  bien de ses dommages
Prétexte, contexte, texte, je l'atteste
Que de situation pour rester sage et sauvage










Les larmes de mon cœur.......en guise d'encres indélébiles
Quoiqu'il m'incombe, de ma douleur je succombe
Mon malaise existentiel me suivra jusqu'à ma tombe
De mon bonheur, j'en ai fait des tableaux coloré et détérioré
Si j'avais déversé toutes les larmes, je serais la Mer Méditerranée
Peut être, je vais m'envoler là bas au travers de mes pensées
Dans ce lieu doux dont l'écho de vagues apaisera mon âme déracinée
Qui demande sans cesse, juste à s'apaiser
Le temps que Mon Petit Aigle Royal prenne son envol
Dans l'écho de ses battements d'ailes et de son cri rageur
Qu'il te dévoile à chaque de ses vols






Auteur: Little D

mercredi 9 mars 2011

Tic, Tac,cataclysme de mon Bric, Brac d'inspiration






 Tic, Tac,cataclysme de mon Bric, Brac d'inspiration
Comme ce puzzle de la vie que l'on place,ou l'on cherche  le début et la fin
A force d'acharnement que l'on construit,reconstruit enfin
L'alizé de l'inspiration chante, nous berce et nous chasse
Mais le temps en est le seul maitre, notre sociale élévation est la récompense

Tic, Tac,cataclysme de mon Bric, Brac d'inspiration
J'entends ces bruits incessants dans ma tête, chaque instant,ils m'enchantent
Au point, que je vadrouille partout avec mon petit carnet de note
Chaque fois,ils vont et viennent dans mon esprit, ma plume qui se frotte
A cette page blanche, je marque mes idées, mes histoires, ma plume se contracte
Comme les battements réguliers de mon cœur,chaque de mes écrits m'épatent
Je compte, je m'entête à donner le meilleur de moi même, qu'importe ma quête


Tic, Tac,cataclysme de mon Bric, Brac d'inspiration
Mon bic, compagnon de route et de douleur, est présent et se déclame
Avec lui  j'ai érodé de ces théorèmes sur l'histoire de la vie et de ses drames
Entre deux feux, je me remettais en selle, pour parler de mes maux d'âme
Ils ne viennent pas au moment opportun, on se trouve indisponible pour la saisir
Là, ou se trouve le problème quand on est artiste ou passionné des mots
Nos paroles, nos propos sont lus et relus comme des porteurs de bonne parole" Messie"



Tic, Tac,cataclysme de mon Bric, Brac d'inspiration
La réalité n'est guère rose, bien des gens en deviennent morose
L'écriture est cet exutoire que j'utilise sans cesse
Quand un déclic de déclac de flot dont je voudrais partager
Durant une journée de merde, j'ai voulu bien les décharger
Oublier tout, mon cœur et mon esprits, les soulagé
Je m'accroche, je m'évade et je m'attache dès que je suis sur la feuille
Au travers d'elle, je veux être un visionnaire,j'en suis fier
De ligne en ligne, l'encre indélébile j'étale et je déballe




Tic, Tac,cataclysme de mon Bric, Brac d'inspiration
TIC TAC bataille de BRIC BRAC
Quand bien des gens sont en FRAC  en quête de FRIC
IL y a de ceux qui ont  des MAC et d'autre exposent leurs pensées sur le MIC
Quand les gosses regardent posés sur le canapés, le dessin animé TIC TIC  ET TAC
IL y a de ceux qui apprécie ce moment, dans lequel en un trait, tout le fond  de notre pensée
Sans se disperser, dire tout et aller droit au but, la vérité a été oublié et chassé:  Le BIC
D'autre se cherchent au travers des autres et rêvent devenir Millionnaire
Bien avant de se poser les bonnes questions sur le succès, pour mettre un CD dans les BAC
CRIC ET CRAC subtils bruits d'une chaise qui ne tardera pas à donner de son âme
Flot de son et de FLIP FLAP  CLIP CLAP que l'on utilise quand la Dèche du vocabulaire nous touche
Et nous Wesh tâche, Garder la pêche c'est la mode des expressions courtes et légères, que l'on absorbe







Auteur: Little D

samedi 5 mars 2011

J'ai mal, j'ai mal de toi......Que restera t'il de nous?






J'ai mal, j'ai mal de toi......Que  restera t'il de nous?
De ne pas savoir pourquoi?
Ce pourquoi dont découle toute la haine et toute mes émois?
Chaque fois, je me retrouve dans ma bulle avec cette question qui me bouleverse:
Est ce vraiment une illusion?
Puis quelques minutes après,mes larmes se déversent.
Sans que j'ai aucune réponse à ma réflexion, mon cœur sans armure se blesse.



J'ai mal, j'ai mal de toi....Que restera t'il de nous?
Entre troubles faits, des "on dit" cachés, de disputes sans raison.
Je me retrouve dans ce lourd silence, avec cette envie de regarder l'avenir.
Au travers de tes yeux, porteurs d'espoir, une vie meilleure à tes cotés,
Est ce moi qui suis-je trop exigeant avec les autres? Pour le bonheur que j'ai tant convoité.
Tel un chercheur d'or, je tombais sur des pépites d'or dont j'avais envie de les tailler.
De continuer un bout de chemin avec elles, mais la finalité de la vie était fait de  points de suspension,
Mon avion de projet étaiit freiné en plein vol, comme ce grimpeur qui est en stagnation en pleine ascension.





J'ai mal, j'ai mal de toi....Que restera t'il de nous?
Chaque passage de ma vie , je me cherchais.
Car dans ce monde rapace, j'étais sans boussole.
Chacune d'entre elles, était une phase de souffrance, de doute.
Je m'isole, ma bulle est devenue fragile.
De l'enfant à  l'adolescence, l'adolescence à l'âge adulte ,
Est ma manière d'annoncer ma perte? Pas vraiment la motivation qui m'anime.
De changer cette routine  qui me  noie, j'ai envie qu'une personne ait envie de faire la route avec moi.


J'ai mal, j'ai mal de toi....Que restera t'il de nous?
On a cassé sans que je ne t'ai fait rien de mal, je pense toujours à nos moments partage.
Avec nos discussions au bout de la nuit, nos petits messages,
Qui nous faisait du bien au cœur et dans l'âme.
La finalité de notre histoire, on a eu pleins de page noire enflammés par la grisailles d" Eux" Flamme.
Maintenant, je voudrais juste vivre et revivre un amour sincère ,pépère
Alors je t'ai dis mon "Je t'aime", en espérant que tu m'entendras.






Auteur: Little D

Si j'avais su, si j'avais cru

Si j'avais su, si j'avais cru
Je me suis donné à toi,
Sans rien  attendre en retour
De ta tromperie, de ta trahison
J'ai perdu ma raison
Ainsi , j'ai coupé court à ton envol
En te faisant sortir de ma bulle et de chez moi

Si j'avais su, si j'avais cru
Je m'arrêterais sur ces prêtes pédophiles
Porteur de belle paroles
Avec leur jeu de mauvais rôles
Ont blessés bien des enfants
Dont  certain se défend
De cette méchanceté
Qui plus tard auront peur de s'offrir à cause de la saleté
Sur leur corps, qui les ont fait avoir peur des décolletés

Si j'avais su, si j'avais cru
Je donnerais moins mon cœur facilement
Comme ce marchand ambulant
Dans mes pensées, je déambulais lentement

Si j'avais su, si j'avais cru
Mon cœur souffrirait moins
De ces affreux arraches cœur
Constamment pour se montrer enchanter
Ensuite me faisait déchanter



Si j'avais su, si j'avais cru
Au jour d'aujourd'hui, je ne savais pas que mes écrits
Que je compare à mes hiéroglyphes de ma vie vous toucherais
Je n'aurais jamais imaginé, avoir ce talent 
Cela m' a donné énormément d'élan
Si la plume me parlait chaque instant, je serais l'homme le plus heureux
De cet avenir qui m'est destiné, dont bien j'ai essayé  de m'en défaire
Quand je repense à tout ce qui s'est conjugué au passé
Maintenant, je vois juste ce présent comme seul  cadeau à mon existence
De  garçon posé, parfois dépassé





Auteur Little D

jeudi 3 mars 2011

Je n'ai que mes yeux pour pleurer, et ma rage pour oublier cette désillusion








 Je n'ai que mes yeux pour pleurer, et ma rage pour oublier cette désillusion
Dont je ne suis pas coupable, juste prise dans une totale confusion
C'est quoi tout ce déchainement humain nous menant à faire des bassesses pareilles
Je suis très déçu de ce litige qui n'aurait pas du être

Je n'ai que mes yeux pour pleurer, et ma rage pour oublier cette désillusion
Toi , dont je ne veux pas citer, je commençais à me plaire avec toi
J'espérais voir notre avenir ensemble en fusion
Dans le même toit
Mais cela s'est arrêter brusquement sans que je puisse et fasse rien de spéciale
Rien n'est jamais anecdotique dans une vie,mais je veux juste oublier
Recolorer ma blessure et l'effacer, garder ses bons moments dans mon agenda noué
Tu es partie et me laissant à coté, sans rien à garder juste avec ton énorme silence
Qui me pèse
Chaque jour, je me sens un peu mal à l'aise


Je n'ai que mes yeux pour pleurer, et ma rage pour oublier cette désillusion
Tu as fait ton choix, je ne peux rien y changer
C'était ta manière à toi de me dire dégager
Pourtant je t'aimais fort
Cette douleur persistante est placée dans mon coffre fort
le mot de contraction sonna fort comme un écho telle un poids sur mon cœur avec un énorme" Mais"
J'ai fini de me faire du mal
Je vais essayer d'oublier cette passion qui nous animait beaucoup entre nous
Dire "RAF" à ses vautours
Dont je veux que personne ne referme dans une malle
Que de regret, d'amertume, de désillusion.....Mon ange à bientôt Je t'aime énormément
Ce fut mes derniers mots qui partirent dans les bas fond de notre triste dénouement
Pourtant on y croyait tous les deux, les "on dit"par leur msgs privés nous ont fait échouer
J'en suis triste
A voir même perdue mon sourire, le fusil sur la détente
Maintenant, ces gens doivent rire de notre séparation de leur hypothétique victoire
Dont qu'ils doivent redescendre sur Terre
Que Dieu nous soulage tous les deux de notre souffrance


Je n'ai que mes yeux pour pleurer, et ma rage pour oublier cette désillusion
 Little D dit Le Petit Aigle Royal  Déraciné
Ce slameur de cœur qui fait couler ses larmes d'amertume d'encre au détour de la méchanceté humaine
Dont j'ai perdu mes repères
Depuis ton départ
Je ss devenu un soldat qui est retombé sur ses pieds,il va casser les remparts de ses ennemis, je reste fier
Je voulais prendre ma plume pour soulager mon cœur de cette mésaventure
Qui me rend plus amère
Je ss de nouveau de retour comme dit Kody de nouveau " Célib à Terre"
Avec mon cœur de bombe devenue tout de Pierre
Plus jamais, plus de souffrance
Je me relèverais ma foi, ma confiance
En amour, qui a vraiment de la chance?


Auteur: Little D 

mercredi 2 mars 2011

Punching-ball verbal d'une enfance rythmée de solitude, d'incompréhension








Punching-ball verbal d'une enfance rythmée de solitude, d'incompréhension
Toi, le jeune enfant pour aider ton père alcoolique 
Te traitant"d'insignifiant, d'inutile .."
Obliger de braquer ces petits camarade dans la cours d'école: pour de petites sommes
Pour subvenir à sa dépendance à cette boisson, qu'il le rendait si pathétique
Quelques fois, méchant avec le sang de sa chair, par des excès de coup sans autre réponse
A son attitude cynique, qui le mettait souvent en panique
Ces bleues cachés derrière ces tee-shirt, ces pleurs accoudés sur cette table,un contrôle comme dispense
Dont il ne verra jamais les lignes de ce devoir, sa valeur humaine froissé à chaque instant,
Au point que son coeur fragile soit cette tasse qui se casse, sans que rien n'y fasse


Punching-ball verbal d'une enfance rythmée de solitude, d'incompréhension
Il se voit accabler dans les cours d'écoles, de tous les noms inimaginables
Car son charme n'a pas fait unanimité mais il en reste avec de terrible séquelles
Ou la question, qu'il se dit qu'à l'age adulte, il vivra mieux son présent sans oublier
Ces douleurs, ces moqueries, ces sous entendus,par un nettoyage de sa mémoire
Le mettre dans un coin de son cerveau, tel un cd compilé
Il y a un dicton qui dit que la parole est d'argent mais le silence est d'or
Combien le savent? Combien se vantent? Combien  se sont arrêtés a leurs portes d'existences?
Mais le poids d'une parole est un boulevard de conséquence



Punching ball vebal d'une enfance rythmée de solitude, d'incompréhension
L'humanité est une basse cour ou le plus fort hausse le ton sur le plus faible.
Pour les rabaisser, leur donner la pression le maximum possible.
C'est que l'on appelle le loi  de la jungle dans la nature mais aussi dans notre société individualiste
De jour en jour, les jeunes et leur mal être persiste
J'en suis qu'au début de la liste
Bien d'autre le conteste
Que faire pour retirer ces persiflages volants?
Bien des vies seront sauvées parfois du suicide, d'une reprise de la discussion parent/enfants.
Une vie est importante si je px sauver un ou une par mon texte, je m'en défends







Auteur: Little D

Mon cœur te parle et s'enivre ........En pensant à toi

Mon cœur te parle et s'enivre ........En pensant à toi
Car bien des mots qui me viennent à l'esprit
Mais ils ne suffissent à dire toute ton importance
Même si je cherchais à être compris, je remarque tant ma chance



Mon cœur te parle et s'enivre ........En pensant à toi
Comment je pourrais m'expliquer?
Les pareilles circonstances de notre rencontre
Mais la vérité pour moi, tu m'as touché dès le premier regard
Le charme, le sourire, la tendresse que tu dégages à mon égard
M'a donné bien des couleurs à mon cœur de drapeau


Mon cœur te parle et s'enivre ........En pensant à toi
Entre deux verres
Et d'un changement de vers
Dans lequel j'ai tourné mon texte à l'envers
Je t'ai dédié bien des mots d'attention
Mais aussi d'affection



Mon cœur te parle et s'enivre ........En pensant à toi
Je ne saurais quoi te dire de plus j'apprécie énormément ces quelques moments
Dont je n'aurais jamais qu'il s'arrête à tes cotés
Même au détriments de ce temps qui est courte, la couleur rose du bonheur est bien irréelle
Car bien des gens de la société galère ceux que l'on appelle " La  France d'en Bas"




Mon cœur te parle et s'enivre ........En pensant à toi
De nos jours, les gens déclarent leurs flammes
Avec des fleurs de leurs âmes,et leur cœur qui se consume
Pour la femme que j'aime
Dont je ne cesserais jamais de lu dire" JTM"
De ma vie, tu représente beaucoup de choses que je n'ose parler
Je ss heureux de te compter à mes cotés






Auteur: Little D

Entre deux routes, deux choix et la croix de la foi à la main droite



 




Entre deux routes, deux choix et la croix de la foi à la main droite
Je ne sais pas vraiment pourquoi j'écris quelque fois
Comme vous tous et toutes, je dérive entre le bien le mal
Quand l'Homme instaure bien des lois
Pour mettre bien des limite entre nous,
Que les accusés se retrouvent à nous parler derrière les vitres du parloirs

Entre deux routes, deux choix et la croix de la foi à la main droite
La vérité et le mensonge se confondent, se séparent dans bien des affaires
Certaines affaires, que les innocents sont jugés coupable
Et les coupables sont jugés innocents, telle est l'instabilité de notre justice improbable
Dont bien des âmes sensibles, choisissent le suicide à la vérité comme cage comptable

Entre deux routes, deux choix et la croix de la foi à la main droite
La croyance en un dieu, nous sauvent tous, nous rendent plus fort
Mais je reconnais que depuis bien des chamboulement ds les églises
J'en suis devenu un peu athée sans vraiment l'être
A cause de ces hommes pieux qui ont connu l'irréparable
J'appelle la pédophilie, la plus grosse fautes commises
Au loin dans ces lieux saints, mes pieds, je pose
Dont bien nous, nul  n'a le droit de se justifier, de cette acte malsain d'un artificier
Envers un corps en construction. De votre acte, leur corps devient une déformation





Entre deux routes, deux choix et la croix de la foi à la main droite
Comme vous tous et toutes, je voyage entre ces deux routes
Tantôt en ligne droite et parfois en pentes
D'elle, on prend et on rejette ce qui a d'inutile, futile
Pour dans la vie le meilleure, garder l'utile à l'agréable
Le mieux que possible...


Auteur: Little D

Des mots qui partent et s'évanouissent

Des mots qui partent et s'évanouissent
Ce temps qui nous chasse, qui passe
Dont bien d'entre nous rêvasse
Quand d'autre se dépasse

Des mots qui partent et s'évanouissent
Les paroles vont et viennent
Dans l'esprit crée des échos de rancœur qui déchaine
Font que nos cœurs sont souvent en berne,en trainent
Entre amour et amitié, ces deux portes se font et se défont
Au point que l'on se  blesse, se compresse
Qu'elle passe de femme au foyers,pour certaine à maitresse

Des mots qui partent et s'évanouissent
Ce temps qui nous chasse, qui passe
Dont bien d'entre nous rêvasse
Quand d'autre se dépasse

Des mots qui partent et s'évanouissent
Un souffle, une écoute, un échange
Comme dans le slam, la poésie
Ces mots viennent du cœur,chaque instant on l'a saisi
Que l'on soit star ou anonyme,on montre notre plaisir
Afin de toucher quelques personnes de nos textuelle âmes
Dans bien des conditions, on se consume
Que nos mots soient leur réconfort dans leur déprime

Des mots qui partent et s'évanouissent
Ce temps qui nous chasse, qui passe
Dont bien d'entre nous rêvasse
Quand d'autre se dépasse

Des mots qui partent et s'évanouissent
J'écris car je dois,je veux, je crois dont j'existe
Little D c'est moi même, je persiste et j'insiste
Car la vie nous met très souvent en faillite
Quelqu'un ne cesse d'appuyer sur la détente
A cause de ces ennemis qui veulent nous voir tomber
Pour mieux succomber
Maintenant j'écris chaque instant, pour me soulager
Évacuer ces mauvaises pensées qui me dépassent
Comme ce papier,après m'être acharner dessus
Je la froisse et défroisse
Avec eux,je caresse avec délicatesse
Cette femme Comtesse

Auteur: Little D

mardi 1 mars 2011

Présentation de mon monde poétique

Bienvenue Dans le Paradis Sombre
De Little D






Une entité humaine, un spécimen, un point de réflexion dans l'univers.
Tous ces mots pour définir un individu, un être humain, qui nous a tourné à l'envers.
Qui ne boit plus de verre, je me tourne vers ce monde de Vers.
Bien des gens écrivent pour se soulager je suis de ceux là,voyager et oublier cette vie pleine de pression.
Dont la vie comme chacun d'entre vous a mal mené, froissé dans d'autres situations calciné 



L'écriture a été un talent qui m'a été offert dont je ne peux m'en défaire.
Le slam et l'écriture sont devenus mes exutoires.

Ma Partie sombre a quelques fois pris le dessus. Maintenant j'écris pour retrouver ma lumière, ma joie de vivre.
Même si mon âme blessée, déracinée par bien des échecs passés, refoulés.
On m'a toujours dit le temps soulage la douleur. Je n'ai jamais pu soigner ces maux  car le temps n'a guère fait son  travail.
Solitaire et Acharné , je le suis, passionné, je le suis, amoureux je l'étais, blessé, je le suis toujours à jamais. Advienne que pourra mais  le temps ....
D'elle, j'ai retenu bien des choses, des remise en cause
D'une bataille, j'en ai perdu des guerre 
Je persévère 

                               LITTLE D alias Le PETIT AIGLE ROYAL DÉRACINÉ
Celui qui écrit avec ses tripes et son cœur, sa passion de l'écriture de la poésie
Que chaque instant je veux la saisir et lu donner mon amour tout comme cette Femme
En laissant parler mon âme.


Je vous laisse apprécier mes écrits, au risque de déplaire à certains ou autre 
Je suis comme je  suis et pourtant, du temps, je ne suis guère un maitre dans l'art
Voici ma phrase favorite qui vient de moi même: Quoiqu'il m'incombe, de ma douleur , je succombe.




Bonne Lecture à vous tous et toutes