dimanche 19 juin 2011

Recueil d'une vie poussiéreuse d'un poète ennuyeux




 Recueil d'une vie poussiéreuse d'un poète ennuyeux
Il n'était guère exceptionnel dans son style
Dans ses écrits, il appréciait énormément les jeux de mots
De son existence, il a vu des guerres,des défaites, des déceptions...
Jusqu'à en perdre son cœur et les non-sens de ses maux
Au yeux de certains qui sonnaient faux..


Recueil d'une vie poussiéreuse d'un poète ennuyeux
Pourquoi les gens se sont permis de le juger et de le dévisager
Sans avoir une discussion sérieuse avec lui dans les yeux
En dehors des "on dit" de ses prétendus voisins proches errants
Dans ses fondations textuelles d'une valeur inestimable de ce chercheur de mot d'or
Malgré la perte de sa fiancée qui l'a poussé le plus loin possible,de son âme sensible



Recueil d'une vie poussiéreuse d'un poète ennuyeux
Le temps a fait son travail et lui fait son empreinte d'auteur audacieux
Chaque instant, il en voulait, il se dévoilait pour mieux marquer sa plume d'artiste dans les cieux
Ce monde éphémère ,bien d'entre nous en revienne amer en face de la mer
Il va et il vient, comme il le veut en titillant notre subconscient
Telle une poussière dans les yeux,elle me gratte et elle me frotte




Recueil d'une vie poussiéreuse d'un poète ennuyeux
Il a écrit son cœur avec sa souffrance comme écueil
Pour laisser une trace à ceux qui n'ont jamais oublié l'homme et son pèlerinage
Ennuyeux, soit-il, il marqua des tonnes et des tonnes d'indélébile d'encres sur des pages
Rien n'est du au hasard, il m'a touché dès les premiers moments avec ses réflexions sages
Je ne sais pas si c'est moi que j'écris
Est ce poète que j'aurai voulu toucher au moins une fois ds mon passage, de mes aphasiques de cris
De  Petit Aigle Royal Déraciné, que je suis...



Auteur: Little D.

samedi 11 juin 2011

Une goutte d'air dans une vie





Une goutte d'air dans une vie
Chaque instant,
Je reste inconstant
Face aux obstacles de ma vie
Je survie dans la douleur
Comme dans la joie
Car j'ai la foi


Une goutte d'air dans une vie
Je prends mon souffle
Je me noie dans l'inconscience
Qui m'ont fait dévier dans divers circonstances
Je n'ai jamais pu arriver à mes objectifs et à leurs échéances
J'écris, j'écris car la vie nous mal mène, nous traîne
de mes déception passées





Une goutte d'air dans une vie
Je m'essouffle dans mes vitaux de  pronostics
Mes tic tocs ont fait déchanter mes TOCS
Dans l'éthique de mes jérémiades
Je m'évade, je m'évade avec ma plume avide
De passion, de dérision, je reste lucide


Une goutte d'air dans une vie
C’est un nouveau départ
J’écris, j’écris car ma plume devient mon armure
L’encre indélébile avec qui je jubile
J’y suis  à l’aise comme ds ma petite maison dans la prairie…



Une goutte d'air dans une vie
Chaque instant,
Je reste inconstant
Face aux obstacles de ma vie
Je survie dans la douleur
Comme dans la joie
Car j'ai la foi





Auteur: Little D

mardi 7 juin 2011

La Rivière ensoleillée de l'amitié




 La Rivière ensoleillée de l'amitié
Comme dans la loi de la nature,
Les loups marchent en meute, ils persévèrent
Dans leur épopée de la survie.
Depuis des années déjà, que l'on a fait connaissance,
Je t'ai apprécié, je t'ai soutenu
Et on a eu des moments de discorde
Nos notes de cœur sonnent à la même écho
Pour mieux nous retenir..
Celui du respect,du partage de moment et de souvenir




La Rivière ensoleillée de l'amitié
Chaque instant, ce lieu qui nous est tous les deux commun
Me fait remonter ces moments de fou rire
Avec toi, j'ai oublié les besognes routiniers qui m'ont guetté
Notre oasis en étoile d'argent s'est toujours épanouit
Faisant naitre une foret avec un étalage d'estime fruitier qui ne s'est jamais évanouit
Passant les époques, les saisons de printemps,d'hiver, d'automne et d'été





La Rivière ensoleillée de l'amitié
J'erre dans mes pensées.Assise sur cette chaise du temps, j'ai vu des gens défilés
Toi, tu es toujours resté là, sans jamais bouger, sans avoir un mot plus haut que l'autre
Tu es resté à mes cotés, comme une confidente,comme une sœur
Je n'oublierais jamais tout ce que tu m'as donné,les sorties l'on s'est façonné
Mais je retiens juste une chose mais pas la moindre si je pars jadis
Tu resteras dans mon château fort de cœur, n'ont pas de lundi à dimanche mais pour l'éternité
Retiens bien ces derniers mots, pour que tu saches dans ma vie, tu  comptes, tu compteras et tu as toujours compté....







Auteur:  Little D

L'ile d'un cœur échoué dans l'océan de ses tentations








L'ile d'un cœur échoué dans l'océan  de ses tentations
Je marche, je cours puis je stagne, je cogne mon poing face au temps
Qui est le mur de mes lamentations, j'ai cassé mon armure, je m'en confère
Mais le temps, tout comme l'amour a ses raisons
Que nulle personne ne pourra soulager avec les mots
Simplement d'un coup de pinceau, j'ai passé un trait sur certains de mes maux
En parlant à moi même et me  disant que je ne suis pas la cause de tout



L'ile d'un cœur échoué dans l'océan  de ses tentations
Je l'écris,je me cache au travers d'elle, je reste toujours le même
Si tu as eu l'occasion de faire le  tour de moi même et de mes défauts
A défaut d'être et de quelques fois de paraitre, de ma vie,je suis né pour en être le maitre


L'ile d'un cœur échoué dans l'océan  de ses tentations
J'ai oublié ce lieu faisant partie de mon intime
Un Lundi soir, entre deux pintes de bières, je t'ai aperçu
Sublime, tu l'étais habillé comme une princesse des milles et un nuit
Entre deux discussions, je t'observais.Recevant l'écho de tes regards perçus
Chaque instant, j'appréciais ce que tu dégageais
Était ce la réalité ou un rêve? Ou mes yeux qui étaient voilés
Après deux tapes dans mon esprit embrouillé
Dès l'instant que tu es venu me parler
J'ai pris conscience de l'importance que tu as, tu auras
Dans mon existence, et les prémices de projets
Qui trottaient dans les lignes que j'ai publié dans ton cœur
Sous forme de lettre recommandée prioritaire
A  cette fleur Rare que j'ai pris par la main,pour te plaire





L'ile d'un cœur échoué dans l'océan  de ses tentations
Elle m'embrassant sur la bouche. Ce souvenir me berçant jusqu'au lendemain
Je n'ai rien lâché.J'ai poursuivi la chance qui m'a été  offerte
J'ai commencé petit à petit à la faire comprendre que j'aurais voulu être avec elle
Tout en mettant des limites à notre overdose mutuel de deux cœurs
Qui s'unissent pour le meilleur et le pire car un regard m'aura permis de l'aimer
Sachant que tôt ou tard, l'un ou l'autre sera amené à souffrir et à se consumer



L'ile d'un cœur échoué dans l'océan  de ses tentations
Ces lignes sont des traces de tippex nullement blanches
Elles sont colorées car je l'aime et je ne cesse de l'aimer
Même si son statue dans ma vie et dans sa vie,
Nous sommes devenus des  taches blanches que les gens appellent les Ex
Je me suis fais une raison et je l'ai laissé avancé sans moi, et moi sans elle avec mes pensées
Chaque seconde m'ont émerveillé dont j'en ai fait des cd gravés compilés dans mon cœur compressé






Auteur: Little D

lundi 23 mai 2011

La vallée de l'oubli et des non-dits







La vallée de l'oubli et des non-dits
...Je marche, je marche à tout moment
Dans cet ailleurs devenu mon exil symbolique
De mon intime, j'ai caché bien de mes secrets verrouillés
Par un cadenas que l'on appelle le
cœur Certains

me qualifieront d'extraverti et d'autre d'introverti.

Les non-dits, maîtres silencieux de nos destins. Petits morceaux de soi qu'on ne veut pas donner, de peur de se les faire voler. Secrets, mensonges... Les non-dits peuvent faire des ravages. Mots muselés, mots interdits, mots maudits s'en vont sans prévenir, en omettant les au revoirs. Ce qu'on s'était promis de dire, se change en un "il est trop tard". On aimerait que notre voix délivre les mots enfouis au fond de notre cœur. On aimerait faire revivre tous les secrets et toutes les erreurs. On fuit sans cesse le bon moment pour que nos confessions éclosent. On repousse toujours l'instant jusqu'à cette porte close.

Je prends conscience de la quantité de non-dit qu'il y a dans ma vie. Du non-dit que je tais par crainte de blesser malgré toutes les paires de gants blancs appelés délicatesse que je sais mettre. Du non dit que je tais parce que je n'ai ni l'énergie ni le courage de plonger dans un douloureux règlement de compte. Du non dit que je tais parce que je ne sais pas exprimer mes sentiments à leur juste valeur. Ça détruit tellement, le non-dit, ça nourrit la rancœur.

Puisque je ne parle pas et ne met rien au clair, je cultive l'amertume, je n'ai plus envie de m'investir, j'apprécie moins l'autre, je tolère stupidement en m'empoisonnant l'existence. Ca ne règle rien, évidemment. Je ne peux pas construire de relation saine sur un terreau aussi stérile. Je renonce donc à construire. Je me soustrais à des relations qui n'aboutissent à rien mais qui pourraient sans doute être allégées voire agréables si les abcès avaient été crevés. Je me tais, m'éloigne, deviens froide et impersonnelle. Je baisse les bras, abdique avec tristesse et désolation. Il arrive qu'un jour, épuisée de ne pas mettre les choses au clair, ma vérité s'impose, délicatesse en moins ou maladresse en plus...

La vallée de l'oubli et des non-dits
Mes escapades dans l'obscur de mon subconscient
Je baigne entre deux eaux qui sèment le désordre
L'être Humain que je suis, compliqué et simple
Entre vérités et mensonges; dans le lointain je me contemple
Au travers de mes choix qui peuvent me mener à ma victoire, tout comme à ma perte.

De la réalité, je reste à la fois le spectateur et l'acteur de ce dilemme.

La vallée de l'oubli et des non-dits
Face à mes fautes, j'ai gardé les yeux éclairés
Dans les confins de ma bouche
Pour ne rien conférer,
Se perdre dans les lisières de la soif murée
J'en ai perdu l'estime de moi même
Envers et contre tous
J'ai perdu le peu de couleur de mon épiderme
Chaque jour, nous écrivons des lettres d'or de nos expériences
Mais chacun des pas de mon avancée sont en décadence
Je pleure dans l'autel, je tourne sur moi même
Sans trouver les raisons qui me minent dans mon silence
A jamais pour le meilleur et pour le pire
Dans mon triste empire.
 


La vallée de l'oubli et des non-dits
Je marche, je marche à tout moment
Dans cet ailleurs devenu mon exil symbolique
De mon intime, j'ai caché bien de mes secrets verrouillés
Par un cadenas que l'on appelle le cœur

Certains me définiront trop extraverti et d'autre introverti.




( Auteurs : Little D  & Marion Gautier )

samedi 21 mai 2011

Le Pré Nuageux des âmes infidèles




 Le Pré Nuageux des âmes infidèles
Comme un oiseau qui picote
Dans divers nids juteux
En y goutant avec excès.
Bien d'entre eux se brulent de plaisir



Le Pré Nuageux des âmes infidèles
Les Mantes religieuses volent
Et elles perdent leurs ailes
Au cours de chaque de leurs conquêtes
Car l'amour est un fruit défendu
Certains en oublie que rien n'est acquis


Le Pré Nuageux des âmes infidèles
Les larmes coulent  sur les joues
De ce visage de cette femme innocente
Qui s'est donné à vous à 100%
Ne demandant seulement monde et merveille
Juste une perle rare comme toi, en chair et en os tout pareil



Le Pré Nuageux des âmes infidèles
Pareil à ces exemples cités précédemment
L'homme, indésirable est cet animal indésiré qui agit ainsi consciemment
Ceci n'est pas une pure fiction, les gentlemen existent-t-il vraiment?
Est-ce la société qui nous pousse  à être coureur jupon?
Notre insatisfaction personnelle, notre culture enfouit font que nous soyons ce que nous sommes



Le Pré Nuageux des âmes infidèles
Nos tentations sont parfois le fruit de notre imagination
Les illuminés sont ces bouillons cultures tentés
Les tentés deviennent ces mêmes personnes plantés
D'une manière radicales, entre chantage et honnêteté
Je dérive, je me rencontre que je navigue souvent dans ce fleuve
Mécontent et indécent car le mariage a perdu ces lettres de noblesse
Nos ainées en restent ces exilés mécontents de cet acte important à leurs yeux
à chaque instant


Le Pré Nuageux des âmes infidèles
Les années passent et trépassent
L'amour, je poursuis comme ce chasseur en chasse
J'en ai besoin pour mon bien être à tout niveau et à ma base
Je l'écris au pluriel comme au singulier, en soulignant le respect pour tout un chacun
Marre de bien de choses, histoire de lendemain sans tirer une avancée concrète....







Auteur : Little D

Valse des mots, elle m'enchante et elle me hante





Valse des mots, elle m'enchante et elle me hante
Rythmer par des sonorités enivrantes, elle me chante
Quand tout me semble si loin, si prés
Comme dans cet avenir dont je ne vois guère la floculation
De leur réussite de  flonflon, je ne la ressens guère, fais je exprès?
Me dit-on, le bonheur se trouve dans le prés


Valse des mots, elle m'enchante et elle me hante
Comme bien d'entre vous, je l'écoute
Durant mes moments de détente, mon moral flapi
J'écris, j'écris sans aucun affront
Quoiqu'il en soit mais bon tant pis...
Depuis ma naissance jusqu'à maintenant,
J'en ai passé des collatéraux de fronts
Sans chercher avoir un mot plus haut que l'autre
Je n'ai aucune prétention, ni de paraitre juste être




Valse des mots, elle m'enchante et elle me hante
Rythmer par des sonorités enivrantes, elle me chante
Quand tout me semble si loin, si prés
Comme dans cet avenir dont je ne vois guère la floculation
De leur réussite de  flonflon, je ne la ressens guère, fais je exprès?
Me dit-on, le bonheur se trouve dans le prés




Valse des mots, elle m'enchante et elle me hante
Je slalome dans mes vers de droite à gauche
De gauche à droite, pour marquer mes propres charpentes
Avec leurs âmes et mes staccatos de  pépites
Dans leur voitures, ils roulent à grandes vitesse, se font flasher
Il en oublie, une triste réalité de se détacher, de l'alcool qui les ont fâché
Leur ivresse ont mené à leur propres pertes, de leur concitoyens détachés





Valse des mots, elle m'enchante et elle me hante
Rythmer par des sonorités enivrantes, elle me chante
Quand tout me semble si loin, si prés
Comme dans cet avenir dont je ne vois guère la floculation
De leur réussite de  flonflon, je ne la ressens guère, fais je exprès?
Me dit-on, le bonheur se trouve dans le prés





Valse des mots, elle m'enchante et elle me hante
Avec elle , je marche à l'ombre, endiablé de mes stigmates sombres
Je vibre à tout moment,de ces bruits persistants de ses fusils et de leurs calibres
Mais pour combien de temps, vais je les entendre?
Comprendre le pourquoi, du comment? De ces tristes dénouements
Dans la vie réelle, dans la télévisions,nous matent
Pour la survie de soi et de ses proches, ils ne cessent de se battent
Quand l'amour d'une femme est un deuxième souffle, l'envie d'aller de l'avant m'épate




Valse des mots, elle m'enchante et elle me hante
Rythmer par des sonorités enivrantes, elle me chante
Quand tout me semble si loin, si prés
Comme dans cet avenir dont je ne vois guère la floculation
De leur réussite de  flonflon, je ne la ressens guère, fais je exprès?
Me dit-on, le bonheur se trouve dans le prés




Auteur: Little D

Alcoolique Anonyme dans mes maux, Dépendant de mes mots









Alcoolique Anonyme dans mes maux, Dépendant de mes mots
De bien de mes  échecs,mes déprimes, mes désillusions affectives qui m'ont mis à bout
Dans mon existence, dans chaque de mes deux bouts
Je me suis associé à cette boisson, qui m'a permis d'oublier tout

Alcoolique Anonyme dans mes maux, Dépendant de mes mots
Je le suis, chaque moment de ma journée, elle était dans ma main
Je ne voyais rien, je n'avais guère d'ambition pour mes lendemains
J'ai bu jusqu'à me bourrer l'esprit, toucher le coma éthylique
Ou je devenais nuisible à moi même et aux autres,
De ma douleur, je n'avais guère de réponse, je n'en tirais guère de récompense




Alcoolique Anonyme dans mes maux, Dépendant de mes mots
De bien de mes échecs,mes déprimes, mes désillusions affectives qui m'ont mis à bout
Dans mon existence, dans chaque de mes deux bouts
Je me suis associé à cette boisson, qui m'a permis d'oublier tout



Alcoolique Anonyme dans mes maux, Dépendant de mes mots
J'ignore les conséquences, en la buvant mais je me trouve très mal et dans l'errance
J'ai entrevu son mal au travers de proches ou éloignés, partie dans ce monde comme seul échéance
Sans avoir prévu, celui-ci, dans bien de triste conditions
Cette envie d'inachevée à un certain niveau, pourtant il reste une énorme émotion
De leurs présence, de leur importance, de leur personnalité
Que puis-je retenir de la vie?  Je n'ai pas su voir tes appels "SOS" ds ta dure blessure
Tant de buées de pleurs,je me suis sentis coupable, ds mon humaine brisure




Alcoolique Anonyme dans mes maux, Dépendant de mes mots
De bien de mes  échecs,mes déprimes, mes désillusions affectives qui m'ont mis à bout
Dans mon existence, dans chaque de mes deux bouts
Je me suis associé à cette boisson, qui m'a permis d'oublier tout





Alcoolique Anonyme dans mes maux, Dépendant de mes mots
J'ai choisi la dépendance des mots, celle ou je prends plaisir à marquer la feuille
Dans mes bonnes comme dans mes mauvaises humeurs, je deviens ce Guérilléro
Partie en guerre, pour mettre ces blêmes sur cette page blanche
Lui permettre d'extérioriser comme mangaka, les dessins de son malaise taché
A chaque jour suffit ma peine, ma douleur broyée, froissée par ce passé caché
J'écris car mon manque énorme, il n'y a guère de calcul,juste une envie de partager
Envie d'échanger, de changer
Je suis simplement Moi même en chair en os, va au seuil de ma porte
Cette mort qui n'hésitera  à partir avec moi, quoique cela lui coute
Quoiqu'il m'incombe de ma douleur je succombe


Alcoolique Anonyme dans mes maux, Dépendant de mes mots
Car la vie est un fil, sur laquelle il faut profiter à tout
Avec beaucoup de modération, qu'importe notre but, nos prétendus atouts
Du jour  au lendemain, ta vie peut basculer entre deux gouttes de bière
Je ne suis pas du tout un exemple, j'aimerais changer bien des choses,j'en serais fier




Auteur: Little D

Le Banc des mélancoliques, ou les souvenirs vont et viennent





 Le Banc des mélancoliques, ou les souvenirs vont et viennent
Celui ou tout un chacun assit revoit leur vie défilée
Avec les blessures intérieures qui remontent au vue et aux yeux de tous
L'un à la suite l'autre, tel un mannequinat de défilé


Le Banc des mélancoliques, ou les souvenirs vont et viennent
Les sentiments, les regrets nous bouleversent, nous chassent
Au point que nos paupières deviennent lourdes
,nos larmes coulent et nous chamboulent
A la suite de tous ces bouleversements, notre mea culpa gabegie
Des choses que l'on a raté, que l'on aurait pu changer,bien sur agir



Le Banc des mélancoliques, ou les souvenirs vont et viennent
Celui ou tout un chacun assit revoit leur vie défilée
Avec les blessures intérieures qui remontent au vue et aux yeux de tous
L'un à la suite l'autre, tel un mannequinat de défilé



Le Banc des mélancoliques, ou les souvenirs vont et viennent
Maintenant,on n'a plus de temps à perdre et les galéjades sont oubliées
Quand bien d'entre nous n'ont pas de toit, ni de souliers, ni un lit pour roupiler 
Dans la galère de cette vie, ils deviennent flagada avec les mains liées
Et en reviennent à louer le très haut,leurs projets et leurs problèmes soient fignoler




Le Banc des mélancoliques, ou les souvenirs vont et viennent
Celui ou tout un chacun assit revoit leur vie défilée
Avec les blessures intérieures qui remontent au vue et aux yeux de tous
L'un à la suite l'autre, tel un mannequinat de défilé


Le Banc des mélancoliques, ou les souvenirs vont et viennent
Quelques fois, je ne trouve pas de mots, pour adoucir mes propres maux
De ceux, de celles qui m'ont rendu introverti dans ma carapace de défauts
J'ignore les ignorants  qui jubilent sur moi même en première page sur mon porte-à-faux
Je ne sais pas vraiment ou mes pas me mènent, me trainent. De mes expériences, j'enchaine
Quand les meneurs me font dévier, de leur vision exsangue me menant,je m'évade me concernant


Le Banc des mélancoliques, ou les souvenirs vont et viennent
Celui ou tout un chacun assit revoit leur vie défilée
Avec les blessures intérieures qui remontent au vue et aux yeux de tous
L'un à la suite l'autre, tel un mannequinat de défilé



Le Banc des mélancoliques, ou les souvenirs vont et viennent
Je me suis bien avancé, de mes édifices de projets j'érige
Chaque de mes pages, cette tâche de marque page  du poète obscur 
Chaque instant, ma plume j'entretiens et je m'y tiens
Car le passé est une page oublié mais à garder,
Pour faire du présent, un livre d'or de souvenir à envier.



Auteur:  Little D

lundi 16 mai 2011

Mes mots métissés, mes prunelles noires et mes vides blancs t'ont causé







 Mes mots métissés, mes prunelles noires et
mes vides blancs t'ont causé
Entre deux portes d'existences
Ils côtoient les noirs et les blancs
De tes yeux,de mes yeux
Même en allant dans les cieux


Mes mots métissés, mes prunelles noires
et  mes vides  blancs t'ont causé
Ceux que j'écris,pour garder une réflexion ergotée
Dans le méli mélo de tout un chacun,
Dans un escale de la solitude, de bulles de certitude
Je m'abstiens de toute opinion blessante, consciente

Mes mots métissés, mes prunelles noires
et  mes vides blancs t'ont causé
Je suis le départ de certain, et le milieu d'autre mais je reste métissé et noir
Au delà de cette couleur, dans laquelle tu t'es arrêté dans l'escarmouche de parloir
Chaque de mes lendemains étaient un combat incessant,de reconnaissance
Ni foi, ni loi, ni soupir, j'ai couru  et j'ai couru
Derrière ces ruisseaux de nègre marrons pour chasser ces vergetures de souffrances
Je n'ai jamais su les effacer, en criant de toute mes forces sur les montagnes Pelés
Pour changer les mentalités erratique, quand les chien errants
Que nous sommes catalogués, ne cesse d'errer pour une quête de respect englué 
Individualiste est notre société entrainant bien des pertes et de plaintes....



Mes mots métissés, mes prunelles noires et 
mes vides blancs t'ont causé
Tu entendras peut être plus parler de mes maux tissés
Parfois, dans mes écrits ,j'ai bien essayé de chasser
A l'encre de la rage et de larmes pour faire parler mes derniers souffles
La vie, je contemple de loin et de prés mes rêves
Bien de mes proches sont partis, je suis très dégouté
Chaque lueur de soleil d'été est un souvenir d'enfance bercé,
ds mon cœur , j'ai compté






Auteur: Little D

dimanche 8 mai 2011

Syndrome de la page blanche,une mémoire qui flanche




 Syndrome de la page blanche,une mémoire qui flanche
Que faire? Quand rien de ton esprit absorbé, de tes réflexions ressortent
De ce magma de ton imagination, tsunami de bouillon culture qui te fait planer
Dans les citées perdues de l'au delà, naitre le ciboire de mon mea culpa donné


Syndrome de la page blanche,une mémoire qui flanche
Chaque de mes lignes entamées est  un espace vide blanc je sème, que je m'y tâche
Je m'y remet de plus en plus, j'en devenais vide en moi même,mes yeux cachés par bien d'obscurs raisons. Chaque de mes avancés dans ce ténébreux cheminement, je m'attache
Quoique je fasse, je ne peux me dire que c'est la fin d'un début ou le début d'une fin
Dans les profondeurs de mon être, mes désirs, mes rêves d'idéaux et d'amour m'ont donné faim


Syndrome de la page blanche,une mémoire qui flanche
Que faire? Quand rien de ton esprit absorbé, de tes réflexions ressortent
De ce magma de ton imagination, tsunami de bouillon culture qui te fait planer
Dans les citées perdues de l'au delà, naitre le ciboire de mon mea culpa donné




Syndrome de la page blanche,une mémoire qui flanche
Mes pleurs cimentées détruisaient l'ultime message de cette page imbibée ciguë
De douleur enfouit dans un tel paradoxe humain ou règne un chaos désastreux endigué 
Je me suis gelé mes pieds, que l'on sublimait telle une couronne d'or de palme
Tapant ce sol d'éloge de mes pas de  luttes incessantes pour ma liberté, gitan de glapissement d'âme
Je n'ai guère l'impression d'être un révolutionnaire, de l'accord des maux
Dans ma conjugaison,comme dans ma grammaire, je suis incohérent,loriot avare de mot
Je glisse, je m'en lisse dans ce subterfuges de l'Homme, de liturgie croyance du non soi, et du  soi,quoiqu'il en soit, je ne puis me parler à moi même je m'y aperçois: bien d'entre nous,nous sommes  perdus dans la discordance de la richesse, de la jalousie, de la haine qui nous ont mis en cage
Parfois, ici ou ailleurs, certains me diront que je suis africain et d'autre me diront antillais mais de mon existence je suis et je resterais qu'un seul être comme dit Aimé Césaire: " Nègre je suis et je resterais et je vous emmerde"




Syndrome de la page blanche,une mémoire qui flanche
Que faire? Quand rien de ton esprit absorbé, de tes réflexions ressortent
De ce magma de ton imagination, tsunami de bouillon culture qui te fait planer
Dans les citées perdues de l'au delà, naitre le ciboire de mon mea culpa donné





Auteur: Little D

Arc en ciel de l'au delà









Regard assidu et perdu
Dans ce lointain en fins résidus
Au fur à mesure, ils disparaissent
Se renouvellent sans cesse


Au dessus, de cette alcôve étoilée
Elle vit et elle revit, ma plume colorée j'ai enfilé
Au biais de ses couleurs multicolores,
J'ai prié l'éternel pour mes confrères et mes frères
Bien d'entre nous la fixe, en deviennent perplexe


De ses prémices d'existences
Il stimule notre imagination
Toucher par ces prurits de misère
Quoiqu'il en soit, mes intentions
Restent sereines.
Les imprévus nous altèrent
Et rendent austères


Il embellit chaque instant
Nos journée de galériens sont persistantes
Errantes sont mes pensées en pentes descendantes
Demandent assistances,ils passent et ils se chassent
J'ai ignoré mes pages blanches.Avec elles, j'ai causé


J'ai erré dans mon crépuscule dilettante
J'attendais rien de cette harmonieuse lumière éphémère
Dans mon cœur et mon esprit, me chante et me hâte
Je t'écris mon arc en ciel de l'au delà face à cette amer mer
Je ne t'oublie jamais, je regarde les ilots de mon passé, me conversé
Je t'écris mais
De Janvier à Mai....




Auteur: Little D

mardi 12 avril 2011

Toile d'Araignée Sentimentale, je m'accroche à elle


Toile d'Araignée Sentimentale, je m'accroche à elle
Elle va et elle vient
Quoiqu'il en convienne
Face à elle, mes sentiments, j'étale
De mon âme, j'en pleure,d'un bon pied, je redémarre
L'amour est une route riche en émotion et en  perle rare
Rares sont celles qui ont compris, mon ambition

Toile d'Araignée Sentimentale, je m'accroche à elle
J'ai compris bien des choses, j'en ai mise quelques un
Sur les bas cotés de ma vie, elles ne sont pas arrêtées à mes devises
Mais de la vie, j'ai aimé bien d'entre elles à en perdre mon cœur
Je parle, je râle, j'entaille mes veines submergées par bien de rancœur

Toile d'Araignée Sentimentale, je m'accroche à elle
Maintenant, j'écris, j'écris chaque instant
Comme un Aigle Royal Déraciné qui prend son envol
Chaque mi-temps,je vole de manière constante
Par mes humeurs désinvoltes, je suis à fleur de peau
Malgré tous les blabla face à la couleur de ma peau
Je laisse parler les gens, au risque de faire déborder mon verre
Dans lequel ,je déverse mes vers en averse, je m'en confère

Toile d'Araignée Sentimentale, je m'accroche à elle
Mes lignes sont peut être courtes,mais j'espère que celles qui poseront les yeux dessus comprendront, toutes mes attentes
Mes rêves ne resteront jamais caché derrière cette carapace
Je me passe, je me dépasse. De la vie, j'ai été pris par bien de stress, quoique je m'en confesse.
Dans la merde, je me suis retrouvé souvent seul. Assit sur les fesses
L'amour part mais La Famille est notre seul part importante
Avec qui j'ai grandis et sur la selle de la vie, je remonte..

Auteur: Little D Simplement

mercredi 6 avril 2011

Une Étoile filante de Lettre est partie, mais il ne cessera jamais de nous bercer





Une Étoile filante de Lettre est partie, mais il ne cessera jamais de nous bercer
Tes poèmes Ta prestance, Ton tact nous ont cadencé
Il est né à Basse Pointe en Martinique le 26 Juin 1913
Avec ce nom qui représente beaucoup à nos yeux aux Antilles et en Afrique
Dans une famille de 6 enfants, d'un père qui était instituteur et une mère qui était couturière
Il 's'appelle Aimé Césaire
"Quand Aimé parle, la Grammaire Française lui sourit" en lui rendant hommage cette phrase dit son père


Une Étoile filante de Lettre est partie, mais il ne cessera jamais de nous bercer
Il Grandit murie,il obtenu son bac avec la mention "élève le plus méritant"
Et fonda sa revue engagée de l'étudiant Noir avec Senghor, Maugée , Sainville et Damas
Votre combat pour la dignité avec vos amis dépasse tous les temps



Une Étoile filante de Lettre est partie, mais il ne cessera jamais de nous bercer
Dès qu' il commença à utiliser sa plume et à écrire
Montrer son engagement par rapport au mouvement de la négritude atmosphère
Dont il est à l'origine et le père
Sur son roman" Retour au pays natal" ou il a montré sa révolte, sa quête identitaire, sa colère
Se fut son œuvre majeure
L'œuvre de sa vie se poursuivie vers la politique, non pas sans déboire
De fonction en fonction, de député à maire
Tu resta toujours notre conscience dans la reconnaissance de la négritude par ta lumière
Ses passions : La politique, la poésie et le théâtre
Voilà Les carrefour de la pensée de ce Grand Homme philosophie des Lumières,le panafricanisme et le marxisme furent ses solides piliers qu'il s'accroche
Pour Faire monter l'horizon d'écrivain de sa solide carrière






Une Étoile filante de Lettre est partie, mais il ne cessera jamais de nous bercer
Tu es parti, toi notre Lumière, tes mots résonnent dans nos cœur comme une évidence
Ton combat pour la négritude a été notre chaine de conscience
Je te rend mon slam hommage pour te dire que tu resteras toujours notre référence
Avec toi, même au paradis, on a gardé notre dignité
Restera toujours notre fierté
Tout prés de nos cœur
Même le racisme nous touchent de long en large, nous donnant un mal de cœur
Pour cela que nous sortons grand dans le cœur et l'âme
On ne veut plus rester fermer,tes mots resteront toujours notre ribambelle de couleur d'arme





                                                                       Auteur Little D

lundi 4 avril 2011

Muscat de Lassitude d'une âme, Nuit marquée de certitude






Muscat de Lassitude d'une âme, Nuit marquée de certitude
Une ambiance calme,étoilée, les nuages vont et viennent
Certains d'entre nous dans les rues trainent,sur moi même, je me cerne
Entre rêve et insomnie, je suis ce navigateur dans son enfer de réflexion, je divague
Revient à la réalité terrible, en fixant cette lumière de ma piète existence faite de regret de vagues

Muscat de  Lassitude d'une âme, Nuit marquée de certitude
Je me rencontre de bien de chose,de cause, qui  font apparaitre mon sourire stressant
Ce retour à moi même est un voyage sans retour, ou tour à tour, je tourne ds mon malaise intérieur qui me guette, il empiète, quand le mal m'attaque et me démonte
Je rêve d'un monde ou je serais maitre du monde, je n'ai guère besoin d'appuyer sur la détente 
Que le bien et le mal, ces deux portes de la conscience ne soient qu'illusion
Au travers du regard de bien des gens riment d'obscurs d'allusions 



Muscat de Lassitude d'une âme, Nuit marquée de certitude
Je tourne, je tourne sur ce lit  douillet et mutilé, de mes assauts d'un esprit déboussolé
Qui s'obstine constamment, de regarder entre ce blancs et ses yeux caramel et leurs noirs
Bien des questions , d'envies, de méditation, d'un amour perdu et revu dans les souvenir de couloirs, s'entremêlement
Avec une cigarette Camel, tu entrevois cette belle demoiselle que l'on appelle Amel
Je plane pour oublier cette routine d'une existence frustrante entre préavis d'une précarité et  une non concrétisation de projet et leurs fatalités






Muscat de Lassitude d'une âme, Nuit marquée de certitude
Laisse moi rêver,un  laps d'une seconde, d'une éternité, ce mot"Changement" est une douce alizé de promesse par nos politiques, que l'on délecte, assit sur les banc confessionnaux d'une église
De partage,de bonne paroles, de raison et persuasion,de leur richesse en guise de méprise
D'eux,j'attends rien juste un brin de vérité. Je songe juste à l'évasion
Dans ce parka, ou la populace, se masse, se dépasse, l'on constate bien des cas
Des protestations, de la dérision. Tous ces ensembles réagissent comme ce tam tam de manifestation de nos divers tracas, élévation de nos tapages
J'écris, j'écris comme ma douleur je crie et je me décris derrière mes dernières pages
De Little D alias Le Petit Aigle Royal Déraciné, dans mon cœur s'est dessiné



Auteur: Little D

lundi 28 mars 2011

Combien de temps, vais je écrire?




 Combien de temps, vais- je écrire?
Combien de temps pour parler de soi , de lui et d'elle ?
Quand ce temps nous rend vénère et nous désespère
Dans bien des situations, entre doute, amertume et incertitude

Combien de temps, vais-je écrire?
Combien de temps, vais je trouver la lumière?
Dans mon monde poétique très sombre, amer je le suis
Je ne cesse d'écrire, afin de soulager mon âme
De cet enfer, dont bien des flammes s'exclament

Combien de temps, vais- je écrire?
En manque de paroles je le suis alors j'écris, j'écris
Au point de détériorer cette page blanche
Sur laquelle je chevauche, d'oublier ces blanches tâches
D'un cœur lourd en réflexion
Chaque instant, ma plume s'enflamme à chaque fois qu'il se contracte
Je constate, chaque de mes écrits est un nouveau cadeau, je m'épate





Auteur: Little D

jeudi 24 mars 2011

Mon dernier Au Revoir, Mon Dernier Souffle et Mes dernières pensées












Mon dernier Au Revoir, Mon Dernier Souffle et Mes dernières pensées
Chaque instant  j'écris,j'écris sans cesse. Car mon cœur se compresse, je crie
Au travers de mon Aigle Royal, en ouvrant mes ailes à divers de mes étapes
Ma douleur, Mon malaise intérieur ne s'estompent guère dont je n'en tire pas de bénéfice
En me cachant derrière mon  sourire stressant, ma souffrance incessante

Mon dernier Au Revoir, Mon Dernier Souffle et Mes dernières pensées
Je déballe bien des choses sur le bitume, la dépouille de mon âme
Entre la douleur et l'amertume, j'ai fait renaitre ma déraciné de plume
Quand bien mon existence entourée de ces habits de Guenille, je vacille
Entre la lumière et mon monde obscurcit, je me suis en durcit
Pour un tel ou un tel, qu'importe les raisons, de la mort qui m'épie, je reste en sursis

Mon dernier Au Revoir, Mon Dernier Souffle et Mes dernières pensées
Si je serais amené à quitter ce monde, sans avoir fait le choix
Je dédie un grand remerciement à tout ceux, celles qui m'ont soutenu
Quand la déprime, les larmes m'ont envahit, je me suis mis à nu
Je refrène,ce passé qui me mal mène, j'ai appris à la transformer en guérite
Ce contenu spatial, dans une partie de ma tête, détenu
Ceux,celles qui m'ont supporté,j'ai bien soutenu,aidé entre mes défauts et mes qualités
Ceux, celles qui ne m''oublieront jamais entre deux cils-lances,je m'élance
Ce flot qui est le mien, je lance entre deux instrumentaux, entre deux notes tantot,je me place



Mon dernier Au Revoir, Mon Dernier Souffle et Mes dernières pensées
Ce souffle qui  m'est si important, chaque instant
Je le sens, partir à chaque de mes inspirations et mes expirations
Me serrant la gorge de plus en plus, entre deux phases
Est ce vraiment ma fin, fixant ce ciel bleu, entre blanc et ce bleu?
Dans lequel je me perds dans cet ailleurs, ce soleil gué,d'un sourire m'a tagué
Contre mon gré, de mon plein gré et de ses conséquences au second degrés
J'ai vu mon corps se taire, au bruit de ce griot aguerri,qui m'a sourit
Me fit apprécier ce passage dans l'autre monde que l'on appelle Le Paradis
Avec Aimé Césaire Édouard Glissant,Michael Jackson, 2 PAC
Chacun d'entre eux, ont marqué mon existence, par leur humaine singularité
Sur le banc des Mélancoliques, j'ai fait pleuré, mon encre algique raturé à l'huile Karité
Mes yeux se referment lentement face à cette brume
Dans lequel ce sentiment d'amertume se saisissait ds mes sentimentales plate-formes
Mes larmes sont ces brins de mélasses de ce mégot qui fait parlé mon ego






Mon dernier Au Revoir, Mon Dernier Souffle et Mes dernières pensées
Celles que j'aurais me disant que je n'aurais aucun regret de mon chemin parcouru
Je me suis perdu dans divers chemins, stoïque face à cette douleur,ce malheur qui me sont apparus, stridulation interne qui m'envahissait dans chaque de mes objectifs au détour de la Victoire de Rue
Je sais que l' Homme n'est pas du tout parfait, sans le vouloir ou indirectement j'ai du blessé autrui.
Avant que les mots me manquent, les paroles me manquent, les cases blanches de ma mémoire sautent  et se marquent alors J'écris sur le bancs des vivants
Mes proses, mes vers de L'aigle Royal Déraciné de son vivant, comme auparavant
Chaque de mes battements de mon cœur est l'écho de mon âme de poète mit en avant
Garder toujours le meilleur de moi même, je le suis, je le serais anonyme
Quoiqu'il m'incombe, de ma douleur je succombe à terme, à la fin de chaque de mes stratagèmes





Auteur: Little D

dimanche 20 mars 2011

Les maux d'une âme....Ils me désarment et m'enflamment











Les maux d'une âme....Ils me désarment et m'enflamment
Comme les notes d'une guitare, elles m'envahissent et me submergent
Dans bien des situations, quand j'encaisse,j'étale dans chaque de mes pages
Do, Ré Fa Sol m'enlacent, au point que je danse avec elle
Cette forme harmonieuse divinement divine
Que les hommes ont cherché à séduire
Elle, la Femme de cœur et d'âme



Les maux d'une âme....Ils me désarment et m'enflamment
Je suis dans ma bulle, quand ils m'attaquent et me traquent
Que dans mes chaussures, je ne sois pas bien à l'intérieur
Cela est bien curieux, vous me direz cela n'est peut pas sérieux
J'écris pour ceux et celles qui souffre, le cœur subit des trou noirs
Mon malaise intérieur me  mal mène, dans ma vie, j'enchaîne




jk@ les maux d'une âme...alchimie entre les actes et la paroles
insatisfaction internes via prises de consciences externes
messages subliminaux, pour vous mettre dans le faux
extrémiste d'influence de Lucifer face à l'ange
perdue compréhensive justesse du bien, du mal
état complètement pas-R.A.S-normal...

les maux d'une âme...brutale peut être la chute
dans le précipice du méandre infernale
tourbillon cyclonique de notre métaphysique
face aux questionnement d'esprit logique
qui nous atteignent et nous saignent
en nous privant de notre oxygène.




Les maux d'une âme....Ils me désarment et m'enflamment
Je m’assieds quelques fois sur les bords de la Seine
Je me mets à m’évader au bruit de ces vagues
Qui me rendent sereines, quoiqu’il advienne
J’ai tourné bien des pages de cette existence dingues
Entre râteaux, échecs, désillusion, je m’en passe
J’ai envie de vivre, j’en ai assez de survivre





Les maux d'une âme....Ils me désarment et m'enflamment
Qu’ils soient conjugués au pluriel ou singulier
Chacun d’entre nous, on se met à divaguer
Dans les eaux de la réflexion, du doute, j’ai navigué
L’écriture, je l’ai utilisé de mon malaise intérieur, pour palier






Auteurs: Little D et Asher Jahzaira-Kaila

samedi 19 mars 2011

Hirondelle de l'àu de là ...Partie seule dans un triste silence





 Comme tous les trésors,
Ils sont important à nos yeux
Leur essor dans nos vies,
Est vital à chaque instant.
Mais pour combien de temps?



J'ai eu mal, j'ai eu mal
Je n'ai rien pu te dire,
Face à ce départ.
Que je me refermais dans une malle,
Ou je me suis mis à part.


Car je suis tombé genoux à terre,
Avec les deux mains sur la tête.
Comme seul rempart,
A ma pesante douleur.
Te retrouverais je ailleurs?
Qui ne cesse de me submerger.
J'ai été blessé, au point d'être déranger


Elle s'appelle  A------ --------Y
J'ai d'énorme regret, en partie
Car je n'ai pas eu l'occasion d'être avec toi
De mes tripes, je t'ai déballé mes vers,
mes mots à l'envers.
Et à des sauces diverses.
Dans mes yeux, des larmes en averses




Tu ne méritais pas de souffrir
Mais Dieu décida autrement
Ta simplicité, ton authenticité me touche constamment
Pourquoi es tu partie dans de telle condition?
De moi à toi, de toi à nous, nos cœurs souffrent de ton châtiment.




Quel est le sens de la vie?
Sans toi, le monde n'a guère de saveur, de gaieté
Je dessine avec ma plume ce texte d'hommage
Pour te garder prés de moi, ton âme
Une nouvelle fois te remettre à la page
Tu me manqueras toujours, tu nous manqueras toujours
Je pense à toi tous les jours
Ma poétesse de mon cœur
A jamais disparue.








Auteur: Little D