lundi 23 mai 2011

La vallée de l'oubli et des non-dits







La vallée de l'oubli et des non-dits
...Je marche, je marche à tout moment
Dans cet ailleurs devenu mon exil symbolique
De mon intime, j'ai caché bien de mes secrets verrouillés
Par un cadenas que l'on appelle le
cœur Certains

me qualifieront d'extraverti et d'autre d'introverti.

Les non-dits, maîtres silencieux de nos destins. Petits morceaux de soi qu'on ne veut pas donner, de peur de se les faire voler. Secrets, mensonges... Les non-dits peuvent faire des ravages. Mots muselés, mots interdits, mots maudits s'en vont sans prévenir, en omettant les au revoirs. Ce qu'on s'était promis de dire, se change en un "il est trop tard". On aimerait que notre voix délivre les mots enfouis au fond de notre cœur. On aimerait faire revivre tous les secrets et toutes les erreurs. On fuit sans cesse le bon moment pour que nos confessions éclosent. On repousse toujours l'instant jusqu'à cette porte close.

Je prends conscience de la quantité de non-dit qu'il y a dans ma vie. Du non-dit que je tais par crainte de blesser malgré toutes les paires de gants blancs appelés délicatesse que je sais mettre. Du non dit que je tais parce que je n'ai ni l'énergie ni le courage de plonger dans un douloureux règlement de compte. Du non dit que je tais parce que je ne sais pas exprimer mes sentiments à leur juste valeur. Ça détruit tellement, le non-dit, ça nourrit la rancœur.

Puisque je ne parle pas et ne met rien au clair, je cultive l'amertume, je n'ai plus envie de m'investir, j'apprécie moins l'autre, je tolère stupidement en m'empoisonnant l'existence. Ca ne règle rien, évidemment. Je ne peux pas construire de relation saine sur un terreau aussi stérile. Je renonce donc à construire. Je me soustrais à des relations qui n'aboutissent à rien mais qui pourraient sans doute être allégées voire agréables si les abcès avaient été crevés. Je me tais, m'éloigne, deviens froide et impersonnelle. Je baisse les bras, abdique avec tristesse et désolation. Il arrive qu'un jour, épuisée de ne pas mettre les choses au clair, ma vérité s'impose, délicatesse en moins ou maladresse en plus...

La vallée de l'oubli et des non-dits
Mes escapades dans l'obscur de mon subconscient
Je baigne entre deux eaux qui sèment le désordre
L'être Humain que je suis, compliqué et simple
Entre vérités et mensonges; dans le lointain je me contemple
Au travers de mes choix qui peuvent me mener à ma victoire, tout comme à ma perte.

De la réalité, je reste à la fois le spectateur et l'acteur de ce dilemme.

La vallée de l'oubli et des non-dits
Face à mes fautes, j'ai gardé les yeux éclairés
Dans les confins de ma bouche
Pour ne rien conférer,
Se perdre dans les lisières de la soif murée
J'en ai perdu l'estime de moi même
Envers et contre tous
J'ai perdu le peu de couleur de mon épiderme
Chaque jour, nous écrivons des lettres d'or de nos expériences
Mais chacun des pas de mon avancée sont en décadence
Je pleure dans l'autel, je tourne sur moi même
Sans trouver les raisons qui me minent dans mon silence
A jamais pour le meilleur et pour le pire
Dans mon triste empire.
 


La vallée de l'oubli et des non-dits
Je marche, je marche à tout moment
Dans cet ailleurs devenu mon exil symbolique
De mon intime, j'ai caché bien de mes secrets verrouillés
Par un cadenas que l'on appelle le cœur

Certains me définiront trop extraverti et d'autre introverti.




( Auteurs : Little D  & Marion Gautier )

samedi 21 mai 2011

Le Pré Nuageux des âmes infidèles




 Le Pré Nuageux des âmes infidèles
Comme un oiseau qui picote
Dans divers nids juteux
En y goutant avec excès.
Bien d'entre eux se brulent de plaisir



Le Pré Nuageux des âmes infidèles
Les Mantes religieuses volent
Et elles perdent leurs ailes
Au cours de chaque de leurs conquêtes
Car l'amour est un fruit défendu
Certains en oublie que rien n'est acquis


Le Pré Nuageux des âmes infidèles
Les larmes coulent  sur les joues
De ce visage de cette femme innocente
Qui s'est donné à vous à 100%
Ne demandant seulement monde et merveille
Juste une perle rare comme toi, en chair et en os tout pareil



Le Pré Nuageux des âmes infidèles
Pareil à ces exemples cités précédemment
L'homme, indésirable est cet animal indésiré qui agit ainsi consciemment
Ceci n'est pas une pure fiction, les gentlemen existent-t-il vraiment?
Est-ce la société qui nous pousse  à être coureur jupon?
Notre insatisfaction personnelle, notre culture enfouit font que nous soyons ce que nous sommes



Le Pré Nuageux des âmes infidèles
Nos tentations sont parfois le fruit de notre imagination
Les illuminés sont ces bouillons cultures tentés
Les tentés deviennent ces mêmes personnes plantés
D'une manière radicales, entre chantage et honnêteté
Je dérive, je me rencontre que je navigue souvent dans ce fleuve
Mécontent et indécent car le mariage a perdu ces lettres de noblesse
Nos ainées en restent ces exilés mécontents de cet acte important à leurs yeux
à chaque instant


Le Pré Nuageux des âmes infidèles
Les années passent et trépassent
L'amour, je poursuis comme ce chasseur en chasse
J'en ai besoin pour mon bien être à tout niveau et à ma base
Je l'écris au pluriel comme au singulier, en soulignant le respect pour tout un chacun
Marre de bien de choses, histoire de lendemain sans tirer une avancée concrète....







Auteur : Little D

Valse des mots, elle m'enchante et elle me hante





Valse des mots, elle m'enchante et elle me hante
Rythmer par des sonorités enivrantes, elle me chante
Quand tout me semble si loin, si prés
Comme dans cet avenir dont je ne vois guère la floculation
De leur réussite de  flonflon, je ne la ressens guère, fais je exprès?
Me dit-on, le bonheur se trouve dans le prés


Valse des mots, elle m'enchante et elle me hante
Comme bien d'entre vous, je l'écoute
Durant mes moments de détente, mon moral flapi
J'écris, j'écris sans aucun affront
Quoiqu'il en soit mais bon tant pis...
Depuis ma naissance jusqu'à maintenant,
J'en ai passé des collatéraux de fronts
Sans chercher avoir un mot plus haut que l'autre
Je n'ai aucune prétention, ni de paraitre juste être




Valse des mots, elle m'enchante et elle me hante
Rythmer par des sonorités enivrantes, elle me chante
Quand tout me semble si loin, si prés
Comme dans cet avenir dont je ne vois guère la floculation
De leur réussite de  flonflon, je ne la ressens guère, fais je exprès?
Me dit-on, le bonheur se trouve dans le prés




Valse des mots, elle m'enchante et elle me hante
Je slalome dans mes vers de droite à gauche
De gauche à droite, pour marquer mes propres charpentes
Avec leurs âmes et mes staccatos de  pépites
Dans leur voitures, ils roulent à grandes vitesse, se font flasher
Il en oublie, une triste réalité de se détacher, de l'alcool qui les ont fâché
Leur ivresse ont mené à leur propres pertes, de leur concitoyens détachés





Valse des mots, elle m'enchante et elle me hante
Rythmer par des sonorités enivrantes, elle me chante
Quand tout me semble si loin, si prés
Comme dans cet avenir dont je ne vois guère la floculation
De leur réussite de  flonflon, je ne la ressens guère, fais je exprès?
Me dit-on, le bonheur se trouve dans le prés





Valse des mots, elle m'enchante et elle me hante
Avec elle , je marche à l'ombre, endiablé de mes stigmates sombres
Je vibre à tout moment,de ces bruits persistants de ses fusils et de leurs calibres
Mais pour combien de temps, vais je les entendre?
Comprendre le pourquoi, du comment? De ces tristes dénouements
Dans la vie réelle, dans la télévisions,nous matent
Pour la survie de soi et de ses proches, ils ne cessent de se battent
Quand l'amour d'une femme est un deuxième souffle, l'envie d'aller de l'avant m'épate




Valse des mots, elle m'enchante et elle me hante
Rythmer par des sonorités enivrantes, elle me chante
Quand tout me semble si loin, si prés
Comme dans cet avenir dont je ne vois guère la floculation
De leur réussite de  flonflon, je ne la ressens guère, fais je exprès?
Me dit-on, le bonheur se trouve dans le prés




Auteur: Little D

Alcoolique Anonyme dans mes maux, Dépendant de mes mots









Alcoolique Anonyme dans mes maux, Dépendant de mes mots
De bien de mes  échecs,mes déprimes, mes désillusions affectives qui m'ont mis à bout
Dans mon existence, dans chaque de mes deux bouts
Je me suis associé à cette boisson, qui m'a permis d'oublier tout

Alcoolique Anonyme dans mes maux, Dépendant de mes mots
Je le suis, chaque moment de ma journée, elle était dans ma main
Je ne voyais rien, je n'avais guère d'ambition pour mes lendemains
J'ai bu jusqu'à me bourrer l'esprit, toucher le coma éthylique
Ou je devenais nuisible à moi même et aux autres,
De ma douleur, je n'avais guère de réponse, je n'en tirais guère de récompense




Alcoolique Anonyme dans mes maux, Dépendant de mes mots
De bien de mes échecs,mes déprimes, mes désillusions affectives qui m'ont mis à bout
Dans mon existence, dans chaque de mes deux bouts
Je me suis associé à cette boisson, qui m'a permis d'oublier tout



Alcoolique Anonyme dans mes maux, Dépendant de mes mots
J'ignore les conséquences, en la buvant mais je me trouve très mal et dans l'errance
J'ai entrevu son mal au travers de proches ou éloignés, partie dans ce monde comme seul échéance
Sans avoir prévu, celui-ci, dans bien de triste conditions
Cette envie d'inachevée à un certain niveau, pourtant il reste une énorme émotion
De leurs présence, de leur importance, de leur personnalité
Que puis-je retenir de la vie?  Je n'ai pas su voir tes appels "SOS" ds ta dure blessure
Tant de buées de pleurs,je me suis sentis coupable, ds mon humaine brisure




Alcoolique Anonyme dans mes maux, Dépendant de mes mots
De bien de mes  échecs,mes déprimes, mes désillusions affectives qui m'ont mis à bout
Dans mon existence, dans chaque de mes deux bouts
Je me suis associé à cette boisson, qui m'a permis d'oublier tout





Alcoolique Anonyme dans mes maux, Dépendant de mes mots
J'ai choisi la dépendance des mots, celle ou je prends plaisir à marquer la feuille
Dans mes bonnes comme dans mes mauvaises humeurs, je deviens ce Guérilléro
Partie en guerre, pour mettre ces blêmes sur cette page blanche
Lui permettre d'extérioriser comme mangaka, les dessins de son malaise taché
A chaque jour suffit ma peine, ma douleur broyée, froissée par ce passé caché
J'écris car mon manque énorme, il n'y a guère de calcul,juste une envie de partager
Envie d'échanger, de changer
Je suis simplement Moi même en chair en os, va au seuil de ma porte
Cette mort qui n'hésitera  à partir avec moi, quoique cela lui coute
Quoiqu'il m'incombe de ma douleur je succombe


Alcoolique Anonyme dans mes maux, Dépendant de mes mots
Car la vie est un fil, sur laquelle il faut profiter à tout
Avec beaucoup de modération, qu'importe notre but, nos prétendus atouts
Du jour  au lendemain, ta vie peut basculer entre deux gouttes de bière
Je ne suis pas du tout un exemple, j'aimerais changer bien des choses,j'en serais fier




Auteur: Little D

Le Banc des mélancoliques, ou les souvenirs vont et viennent





 Le Banc des mélancoliques, ou les souvenirs vont et viennent
Celui ou tout un chacun assit revoit leur vie défilée
Avec les blessures intérieures qui remontent au vue et aux yeux de tous
L'un à la suite l'autre, tel un mannequinat de défilé


Le Banc des mélancoliques, ou les souvenirs vont et viennent
Les sentiments, les regrets nous bouleversent, nous chassent
Au point que nos paupières deviennent lourdes
,nos larmes coulent et nous chamboulent
A la suite de tous ces bouleversements, notre mea culpa gabegie
Des choses que l'on a raté, que l'on aurait pu changer,bien sur agir



Le Banc des mélancoliques, ou les souvenirs vont et viennent
Celui ou tout un chacun assit revoit leur vie défilée
Avec les blessures intérieures qui remontent au vue et aux yeux de tous
L'un à la suite l'autre, tel un mannequinat de défilé



Le Banc des mélancoliques, ou les souvenirs vont et viennent
Maintenant,on n'a plus de temps à perdre et les galéjades sont oubliées
Quand bien d'entre nous n'ont pas de toit, ni de souliers, ni un lit pour roupiler 
Dans la galère de cette vie, ils deviennent flagada avec les mains liées
Et en reviennent à louer le très haut,leurs projets et leurs problèmes soient fignoler




Le Banc des mélancoliques, ou les souvenirs vont et viennent
Celui ou tout un chacun assit revoit leur vie défilée
Avec les blessures intérieures qui remontent au vue et aux yeux de tous
L'un à la suite l'autre, tel un mannequinat de défilé


Le Banc des mélancoliques, ou les souvenirs vont et viennent
Quelques fois, je ne trouve pas de mots, pour adoucir mes propres maux
De ceux, de celles qui m'ont rendu introverti dans ma carapace de défauts
J'ignore les ignorants  qui jubilent sur moi même en première page sur mon porte-à-faux
Je ne sais pas vraiment ou mes pas me mènent, me trainent. De mes expériences, j'enchaine
Quand les meneurs me font dévier, de leur vision exsangue me menant,je m'évade me concernant


Le Banc des mélancoliques, ou les souvenirs vont et viennent
Celui ou tout un chacun assit revoit leur vie défilée
Avec les blessures intérieures qui remontent au vue et aux yeux de tous
L'un à la suite l'autre, tel un mannequinat de défilé



Le Banc des mélancoliques, ou les souvenirs vont et viennent
Je me suis bien avancé, de mes édifices de projets j'érige
Chaque de mes pages, cette tâche de marque page  du poète obscur 
Chaque instant, ma plume j'entretiens et je m'y tiens
Car le passé est une page oublié mais à garder,
Pour faire du présent, un livre d'or de souvenir à envier.



Auteur:  Little D

lundi 16 mai 2011

Mes mots métissés, mes prunelles noires et mes vides blancs t'ont causé







 Mes mots métissés, mes prunelles noires et
mes vides blancs t'ont causé
Entre deux portes d'existences
Ils côtoient les noirs et les blancs
De tes yeux,de mes yeux
Même en allant dans les cieux


Mes mots métissés, mes prunelles noires
et  mes vides  blancs t'ont causé
Ceux que j'écris,pour garder une réflexion ergotée
Dans le méli mélo de tout un chacun,
Dans un escale de la solitude, de bulles de certitude
Je m'abstiens de toute opinion blessante, consciente

Mes mots métissés, mes prunelles noires
et  mes vides blancs t'ont causé
Je suis le départ de certain, et le milieu d'autre mais je reste métissé et noir
Au delà de cette couleur, dans laquelle tu t'es arrêté dans l'escarmouche de parloir
Chaque de mes lendemains étaient un combat incessant,de reconnaissance
Ni foi, ni loi, ni soupir, j'ai couru  et j'ai couru
Derrière ces ruisseaux de nègre marrons pour chasser ces vergetures de souffrances
Je n'ai jamais su les effacer, en criant de toute mes forces sur les montagnes Pelés
Pour changer les mentalités erratique, quand les chien errants
Que nous sommes catalogués, ne cesse d'errer pour une quête de respect englué 
Individualiste est notre société entrainant bien des pertes et de plaintes....



Mes mots métissés, mes prunelles noires et 
mes vides blancs t'ont causé
Tu entendras peut être plus parler de mes maux tissés
Parfois, dans mes écrits ,j'ai bien essayé de chasser
A l'encre de la rage et de larmes pour faire parler mes derniers souffles
La vie, je contemple de loin et de prés mes rêves
Bien de mes proches sont partis, je suis très dégouté
Chaque lueur de soleil d'été est un souvenir d'enfance bercé,
ds mon cœur , j'ai compté






Auteur: Little D

dimanche 8 mai 2011

Syndrome de la page blanche,une mémoire qui flanche




 Syndrome de la page blanche,une mémoire qui flanche
Que faire? Quand rien de ton esprit absorbé, de tes réflexions ressortent
De ce magma de ton imagination, tsunami de bouillon culture qui te fait planer
Dans les citées perdues de l'au delà, naitre le ciboire de mon mea culpa donné


Syndrome de la page blanche,une mémoire qui flanche
Chaque de mes lignes entamées est  un espace vide blanc je sème, que je m'y tâche
Je m'y remet de plus en plus, j'en devenais vide en moi même,mes yeux cachés par bien d'obscurs raisons. Chaque de mes avancés dans ce ténébreux cheminement, je m'attache
Quoique je fasse, je ne peux me dire que c'est la fin d'un début ou le début d'une fin
Dans les profondeurs de mon être, mes désirs, mes rêves d'idéaux et d'amour m'ont donné faim


Syndrome de la page blanche,une mémoire qui flanche
Que faire? Quand rien de ton esprit absorbé, de tes réflexions ressortent
De ce magma de ton imagination, tsunami de bouillon culture qui te fait planer
Dans les citées perdues de l'au delà, naitre le ciboire de mon mea culpa donné




Syndrome de la page blanche,une mémoire qui flanche
Mes pleurs cimentées détruisaient l'ultime message de cette page imbibée ciguë
De douleur enfouit dans un tel paradoxe humain ou règne un chaos désastreux endigué 
Je me suis gelé mes pieds, que l'on sublimait telle une couronne d'or de palme
Tapant ce sol d'éloge de mes pas de  luttes incessantes pour ma liberté, gitan de glapissement d'âme
Je n'ai guère l'impression d'être un révolutionnaire, de l'accord des maux
Dans ma conjugaison,comme dans ma grammaire, je suis incohérent,loriot avare de mot
Je glisse, je m'en lisse dans ce subterfuges de l'Homme, de liturgie croyance du non soi, et du  soi,quoiqu'il en soit, je ne puis me parler à moi même je m'y aperçois: bien d'entre nous,nous sommes  perdus dans la discordance de la richesse, de la jalousie, de la haine qui nous ont mis en cage
Parfois, ici ou ailleurs, certains me diront que je suis africain et d'autre me diront antillais mais de mon existence je suis et je resterais qu'un seul être comme dit Aimé Césaire: " Nègre je suis et je resterais et je vous emmerde"




Syndrome de la page blanche,une mémoire qui flanche
Que faire? Quand rien de ton esprit absorbé, de tes réflexions ressortent
De ce magma de ton imagination, tsunami de bouillon culture qui te fait planer
Dans les citées perdues de l'au delà, naitre le ciboire de mon mea culpa donné





Auteur: Little D

Arc en ciel de l'au delà









Regard assidu et perdu
Dans ce lointain en fins résidus
Au fur à mesure, ils disparaissent
Se renouvellent sans cesse


Au dessus, de cette alcôve étoilée
Elle vit et elle revit, ma plume colorée j'ai enfilé
Au biais de ses couleurs multicolores,
J'ai prié l'éternel pour mes confrères et mes frères
Bien d'entre nous la fixe, en deviennent perplexe


De ses prémices d'existences
Il stimule notre imagination
Toucher par ces prurits de misère
Quoiqu'il en soit, mes intentions
Restent sereines.
Les imprévus nous altèrent
Et rendent austères


Il embellit chaque instant
Nos journée de galériens sont persistantes
Errantes sont mes pensées en pentes descendantes
Demandent assistances,ils passent et ils se chassent
J'ai ignoré mes pages blanches.Avec elles, j'ai causé


J'ai erré dans mon crépuscule dilettante
J'attendais rien de cette harmonieuse lumière éphémère
Dans mon cœur et mon esprit, me chante et me hâte
Je t'écris mon arc en ciel de l'au delà face à cette amer mer
Je ne t'oublie jamais, je regarde les ilots de mon passé, me conversé
Je t'écris mais
De Janvier à Mai....




Auteur: Little D